Pourquoi lire TOXIC FOOD?
Les questions essentielles des internautes et les réponses de William Reymond posent bien le problème et les différentes répercussions sur notre vie quotidienne.
Je publie aussi, ci-après la newsletter de William Reymond que je viens de recevoir et qui déplore le manque d’intérêt des médias français, pas assez people…
Les explications sont malheureusement évidentes : « on » nous détourne le regard….les intérêts financiers sont collossaux.
Et puis c’est tellement facile de nous faire avaler des couleuvres : comme le nuage de Tchernobyl qui s’est arrêté à la frontière…
Je suis en train de relire pas à pas son livre pour en faire les commentaires les plus précis possibles (d’autant que cette fois, j’ai un peu la pression, William les attend!!!)
Mais le plus important, comme il le dit, face à l’omerta et aux autruches que nous sommes tous parce qu’il y en a marre de toutes ces mauvaises nouvelles….
C’est que tous, nous regardions en face la réalité de nos assiettes et que tous nous agissions, pour nous, mais surtout pour nos enfants!
Le premier pas, le plus difficile à franchir est donc de s’informer.
Le deuxième de diffuser l’information…
C’est la raison de ce premier commentaire et des diffusions par tous les moyens et l’un des plus rapides, internet avec tous les supports qui sont notre disposition.
C’est comme William le dit dans sa newsletter : à nousde jouer!
» A vous de jouer !
Le 18 novembre dernier, les éditions Flammarion publiaient Toxic Food : Enquête sur les secrets de la nouvelle malbouffe. Le livre reprenait le flambeau d’un combat débuté il y a bientôt trois ans avec la sortie de Toxic
Et comme alors, Toxic Food vient de se heurter au terrible mur de l’indifférence des médias Français. Certes, il y a eu les relais habituels à mon travail auxquels sont venus s’ajouter un chat sur le site du quotidien Métro, un échange pétillant avec Karl Zéro et un débat tardif mais instructif chez Fréderic Taddei dans Ce Soir ou jamais sur France 3.
Mais rien de plus. Ou presque.
Les raisons sont toujours les même.
D’abord, un appétit grandissant pour « l’information » people. Ainsi désormais, lorsque l’on n’interroge pas les people, on parle des people comme l’on regarde son nombril : sans fin. Un livre d’enquête sur les maladies liées à notre alimentation moderne ? Pas assez glamour, Coco !
Ensuite, personne ou presque aujourd’hui ose s’opposer à la première industrie mondiale : l’agro-alimentaire. Pourquoi ? Parce que de fait, elle est aussi le premier annonceur publicitaire de la planète. Très clairement, Toxic Food dévoile un système qui est à la base de l’équilibre financier de la presse et de la télévision. Et donc, peu importe que ce système nous tue à petit feu, du moment qu’il les fait vivre, eux.
Enfin, à un moment où il n’a jamais été aussi important de contrôler son image politique, Toxic Food dérange. Le livre révèle comment nos gouvernements ont peu à peu laissé notre santé et finalement l’avenir de nos enfants aux mains d’industriels dont les scrupules se mesurent à l’aune de la bonne forme d’une courbe boursière.
Alors, puisque de mon côté, j’ai répondu aux obligations liées à ma volonté de vous informer (et je compte bien continuer à le faire à chaque fois que l’occasion de m’exprimer me sera offerte. En commençant par le Québec lors de la sortie du livre, le 4 février prochain.), je viens vous demander de prendre le relais et, à votre tour, d’agir.
La bonne nouvelle est que les outils à votre disposition sont nombreux et, je le crois sincèrement, plus efficaces que n’importe quelle invitation sur un plateau de télévision.
Bien évidemment, et plus particulièrement en cette période de cadeaux, il vous est possible d’acheter Toxic Food. Pour vous ou pour l’offrir, que cela soit en ligne ou chez votre libraire, le livre est largement disponible.
Dans le même esprit, vous pouvez demander à votre bibliothèque municipale ou scolaire, de se procurer le livre afin de le rendre disponible au plus grand nombre.
Mais, ce vote avec votre porte-monnaie, n’est pas suffisant s’il reste un acte isolé. Avec modestie et sincérité, je crois que les révélations contenues dans Toxic Food doivent être largement propagées autour de nous.
Donc parlez du livre à votre famille, à vos amis, à votre entourage professionnel. N’oubliez pas également de poster votre avis sur mon travail sur les sites marchands comme celui d’Amazon ou de la Fnac. Un conseil de lecture faudra toujours mieux qu’une chronique télévisée.
Et puis, contre le silence médiatique, utilisons la puissance démocratique de l’internet.
Il suffit d’un clic pour faire suivre cette lettre à vos contacts. D’un autre pour la poster sur vos murs virtuels. Ou de quelques secondes pour lui offrir le cadre de votre statut sur Facebook.
Et de guère plus pour porter l’écho de ce combat sur vos blogs, dans vos forums, sur Wikipedia, Twitter, Myspace, Youtube, Dailymotion et Facebook …
Au delà de l’avenir de Toxic Food, de celui de notre alimentation, il en va, je crois, de celui de la qualité de notre information.
Une information non assujettie aux intérêts financiers des multinationales, libre du poids politique et indépendante de l’état de santé de nos people.
A vous de jouer !
Merci d’avance.
William »